Le regard au fil du temps : à 50 ans
La correction du regard à partir de l’âge de 50 ans s’inscrit dans une démarche globale de rajeunissement du visage. Cette stratégie vise à réharmoniser l’ensemble du visage en luttant contre la perte de fermeté, l’affaissement des tissus, un éventuel œdème ou, au contraire, des creux qui assombrissent les expressions. La chirurgie esthétique doit alors s’envisager de manière personnalisée et la réponse du chirurgien dépendra avant tout de la morphologie du visage du patient ou de la patiente. Les transformations envisagées doivent permettre de conserver la personnalité et la structure originelle du visage, tout en gommant les imperfections liées à l’âge. Plusieurs techniques complémentaires peuvent ainsi être envisagées.
Agir sur toutes les dynamiques du regard
La zone du regard après 50 ans subi une perte de fermeté parfois importante. Les paupières supérieures et inférieures peuvent s’affaisser, au point de réduire considérablement l’espace orbitaire : les yeux semblent rapetissés et le regard apparaît fatigué. Dans ce cas précis, l’indication posée par le chirurgien est une blépharoplastie supérieure et inférieure, visant à ouvrir le regard et à supprimer les poches disgracieuses. Bien souvent, il faut également retravailler la pommette. Si celle-ci est trop creusée, le visage apparaîtra émacié. Pour redonner du volume aux pommettes, le chirurgien peut recourir aux injections d’acide hyaluronique. Mais le lipomodelage offre des résultats plus durables et est, pour cette raison, souvent préféré par les patients. Cette technique repose sur l’injection de graisse autologue, c’est-à-dire la graisse prélevée sur le patient par liposuccion. Il est par exemple possible d’envisager une réduction des poches et de réinjecter la graisse prélevée au niveau des pommettes. Ainsi, l’acte chirurgical est allégé et le visage du patient retravaillé dans son ensemble au cours d’une seule et même intervention.
Le lifting est-il indispensable ?
Le lifting cervico-facial doit s’envisager dans certains cas, notamment si le patient ou la patiente présente un relâchement cutané important et un affaissement de la partie inférieure du visage, se traduisant par l’apparition de « bajoues ». Si seule la zone du regard est affectée et si le relâchement est associé à une chute du sourcil importante, un mini lifting temporal, réalisé par une simple incision au niveau des tempes, s’avèrera suffisant. La nature de l’acte chirurgical dépendra de l’indication du chirurgien, des souhaits du patient et de sa morphologie.
Pour obtenir plus d’informations sur la chirurgie du regard après 50 ans ou pour prendre rendez-vous, vous pouvez contacter le Dr Gounot par téléphone au 04 37 24 94 54 ou par mail : cabinet@docteurnicolasgounot.com.
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